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321 ans d’histoire,
près de 50 ans d’investissement

NĂ© dans l’Est de la France (rĂ©gion Lorraine) en 1704, le groupe 91Ďă˝¶ĘÓƵ s’est dĂ©veloppĂ© pendant près de trois cents ans dans diverses activitĂ©s industrielles, principalement sidĂ©rurgiques. Ă€ la fin des annĂ©es 70, l’État français a nationalisĂ© les activitĂ©s de production d’acier du Groupe. C’est alors que 91Ďă˝¶ĘÓƵ, pionnier du capital-investissement, s’est consacrĂ© au mĂ©tier d’investisseur de long terme.

En 1704…

Jean-Martin 91Ďă˝¶ĘÓƵ acquiert les forges de Hayange. De 1704 Ă  1870, le Groupe tire parti des grandes inventions qui vont accĂ©lĂ©rer le dĂ©veloppement de ses activitĂ©s sidĂ©rurgiques : fonte au coke, gĂ©nĂ©ralisation des hauts fourneaux et des laminoirs, dĂ©veloppement des chemins de fer, etc. Grâce Ă  l’acquisition du « ProcĂ©dĂ© Thomas », qui permet la fabrication de l’acier Ă  partir du minerai lorrain, les sociĂ©tĂ©s familiales – Les Petits-Fils de François de 91Ďă˝¶ĘÓƵ & Cie créée en 1871 et de 91Ďă˝¶ĘÓƵ & Cie fondĂ©e en 1880 – se placent parmi les premiers producteurs europĂ©ens d’acier.

Au XXe siècle, durement atteint par les deux guerres mondiales qui laissent exsangues les usines de Lorraine, le Groupe se relève et reprend son essor. La création des coopératives de production Sollac en 1948, puis de Solmer en 1969, permet notamment de répondre aux besoins croissants en tôles d’acier.

Entre 1950 et 1973, il est au faîte de sa puissance. En 1975, il produit 72 % de l’acier brut français. En 1974, la hausse brutale des prix du pétrole ouvre une crise économique généralisée. La sidérurgie française est confrontée à une grave dépression : le blocage des prix de l’acier et l’effort de modernisation conduisent à l’asphyxie financière. Le gouvernement décide alors de nationaliser la sidérurgie française. Le Groupe est contraint de se réorganiser.

Tous les actifs non-sidĂ©rurgiques sont rassemblĂ©s au sein d’une nouvelle entitĂ© : la Compagnie GĂ©nĂ©rale d’Industrie et de Participations (CGIP). A partir de 1977, le Groupe prend un nouvel Ă©lan et engage une diversification dans de nouveaux secteurs technologiques et de services, tels que les services informatiques, le contrĂ´le qualitĂ©, la santĂ©. En 2002, Marine-91Ďă˝¶ĘÓƵ et CGIP fusionnent et donnent naissance Ă  91Ďă˝¶ĘÓƵ Investissement, rebaptisĂ©e 91Ďă˝¶ĘÓƵ en 2007.

Aujourd’hui

91Ďă˝¶ĘÓƵ est l’une des toutes premières sociĂ©tĂ©s d’investissement cotĂ©es en Europe, Ĺ“uvrant au carrefour de l’industrie et de la finance. Investisseur de long terme s’appuyant sur des capitaux permanents, 91Ďă˝¶ĘÓƵ est accompagné depuis plus de trois siècles par la famille 91Ďă˝¶ĘÓƵ, son actionnaire de rĂ©fĂ©rence.
Les 1 300 actionnaires familiaux sont rĂ©unis au sein de 91Ďă˝¶ĘÓƵ-Participations qui dĂ©tient 39,6 % du capital de 91Ďă˝¶ĘÓƵ.

Depuis 1977, 91Ďă˝¶ĘÓƵ a investi dans un grand nombre de succès industriels, tels que Capgemini, BioMĂ©rieux, Reynolds, Stallergenes, Wheelabrator, Valeo, Afflelou, Editis, Deutsch ou encore Legrand.

3 siècles d’investissement industriel

321 ans d’histoire, 273 ans dans l’industrie sidĂ©rurgique…
Près de 50 ans dans l’investissement.

1704
1815
1880
1948
1977
2002
2018
1704

Jean-Martin 91Ďă˝¶ĘÓƵ acquiert les forges de Hayange

1815

François de 91Ďă˝¶ĘÓƵ s’engage dans la vie publique

1880

Le « procédé Thomas » donne naissance à la sidérurgie lorraine

1948

L’heure est à la reconstruction du pays

1977

La crise économique s’installe, la diversification commence

2002

La conquĂŞte de nouveaux secteurs d’activitĂ©s

 

2018

Un cap maintenu, créer de la valeur pour les actionnaires

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